Premier semestre d'un Crowdsourcing
Il permet la reconnaissance du projet artistique par des professionnels de différents domaines (comédiens, compositeur, Ingénieur du son, premier assistant réalisateur, maquilleuse, chanteurs, peintres, etc.) et du public.
L'information du public est effectuée simultanément par internet (Facebook, Twitter, Blog, mails) et via la presse écrite et électronique. Elle invite les cinéphiles et amoureux du territoire concerné à participer au projet de différentes façons (ex : "7 façons de participer" du projet "Ainara") dont la plus classique reste la figuration.
Des flyers permettent de toucher un public ciblé. En complément à une information sommaire, ils font connaître le site internet du projet où les internautes seront invités à signer un Livre d'Or. Ce geste est important car il témoigne aux professionnels du cinéma et aux mécènes (et sponsors) de l'intérêt porté au projet artistique, au sens et aux émotions qu'il véhicule.
Deuxième semestre d'un Crowdsourcing
Des Comités de lecture virtuels identifient et analysent précisément la marge entre le scénario et l'intention artistique. Outre la production d'un matériau très riche et d'une synthèse sous forme d'axes de ré-écriture, ces comités déclenchent de nouvelles rencontres avec des professionnels et en particulier ceux qui participeront à la ré-écriture du scénario.
Pour diversifier les sources de financement du fonds d'amorçage, en complément à la recherche de nouveaux mécènes et sponsors, des ateliers participatifs doivent établir l'intérêt de systèmes alternatifs tels que les systèmes de cash-back (où les internautes bénéficient de ristournes sur leurs achats habituels, ex : iGraal).
Des rencontres avec des producteurs ont lieu pour dès que possible pour effectuer la synergie entre le projet participatif et la filière traditionnelle de production de films.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire